"Beaucoup trop de gens rêvent ou misent sur leurs rêves sans passer à l'action", a remarqué Kabbaj, conférencier très apprécié dans le monde. Il a reconnu qu'il est bon de rêver, mais la sagesse veut qu'on ne s'y attarde pas. Sans passer à l'action, le rêve restera tel quel et ne saura rien faire pour le rêveur. L'entrepreneur de TKL Trading a conseillé à ceux qui veulent réussir d'avoir un plan pour réaliser leur rêve. "Pour réussir, il faut accepter d'en payer le prix", a-t-il rappelé.
Pierre-Paul est allé plus loin dans son intervention. "L'histoire nous apprend que ceux ayant d'une manière ou d'une autre réussi dans la vie ne sont pas de simples rêveurs, mais de rudes travailleurs, de puissants guerriers", a-t-il martelé. Le succès est donc la résultante du travail bien planifié. Comme Kabbaj, il a reconnu que le rêve est important et vient naturellement au début de toute bonne oeuvre. Mais il faut lui donner une forme pratique. "Les rêves en dehors d'une structure pragmatique ne sont que des illusions, lesquelles produisent toujours des frustrations et une forme de psychose dont les effets ne sont pas les moindres", a indiqué le président de la Fondation Katapausis, aussi reconnu pour son excellence en communication et son intérêt pour les sciences sociales.
Ce n'est donc pas sans raison que la Fondation Katapausis ait adopté une méthodologie différente et innovante, plus pragmatique. "Katapausis aide, bien sûr, à renforcer et à aiguiser les visions. Elle permet surtout aux gens à avoir en tête et en main ce qu'il faut pour pouvoir réaliser les projets. Car si les projets débutent avec une idée, l'idée ne suffit pas même pour rêver de le réaliser", a précisé la vice-présidente de la Fondation, Mirline Paul.
En ce sens, comme Kabbaj et Pierre-Paul, il est conseillé de ne pas vous laisser berner par des marchands d'illusions, mais de vous mettre rapidement au travail, de mener des actions appropriées pour matérialiser vos rêves.
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