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vendredi 14 décembre 2018

La médisance est une maladie, selon Valerie Trierweiler

La journaliste politique française a décrit la médisance dans l'un de ses ouvrages comme une maladie. 

Selon tous les dictionnaires du monde, la médisance consiste à dire du mal de quelqu'un dans le but de lui faire du mal. Le mal que l'on raconte peut être quelquechose que l'on sait ou que l'on croit savoir. Comme une femme qui utilise son téléphone pour médire, pour esaayer de décourager des gens de participer à des activités sociales dont elle faisait partie, après avoir été mise à l'écart pour sa ruse. 

Si la journaliste décrit la médisance comme une maladie, ce n'est pas de manière innocente. On ne parle pas seulement de maladie quand il y a altération au niveau de l'organisme, mais quand le trouble survient dans l'individu consciemment ou non. Comme beaucoup de maladies, la médisance est multifactorielle : elle dépend de l'environnement, du vécu de la personne et de ses prédispositions. 

Par exemple, la femme qui utilise son téléphone et son argent pour médire, ne doit pas être prise en compte que par un professionnel de la santé. Elle est un sujet qui est au comble de la frustration, de l'angoisse et de l'envie. Déçue de n'avoir pas pu utilisé sa "ruse" pour décrocher un travail, elle est devenue envieuse et cherche par toutes les manières à briser le pont derrière lui. Malheureusement, elle n'est pas en mesure de faire mieux que l'objet de sa médisance. 

Mme Trierweiler croit que les sociétés connectées, les réseaux sociaux, facilitent la médisance, et les conséquences sont déculpées lorsque le médiaant s'y adonne. En ce sens, elles faciliteraient, selon la journaliste, une épidémie de dénigrement et une culture d'humiliation. On ne peut pas effacer l'opprobre que cela provoque. Comme dirait Molière, contre la médisance, point de rempart.

Le seul moyen d'y survivre, c'est d'être heureux de faire et de laisser le médisant dans la peine de médire. 


Fondation Katapausis




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